Dans l’attente des européennes, et puisque qu’il ne peut pas partir en vacances au soleil, notre cher président décide (comme tous ses prédécesseurs) de financer sa campagne des européennes sur le dos des français avec cette mascarade de grand débat.

Ce qui a de remarquable dans l’exercice de ce pouvoir, c’est la capacité de recommencer sans cesse les mêmes erreurs avec un niveau de prévisibilité sans pareil.

C’est cette constante et cette lisibilité qui caractérise ce quinquennat.

Mais alors à qui bénéficie ces actions ?

En tout cas, pas aux français comme vous l’avez compris.

Il s’agit en fait de rassurer les marchés et d’envoyer un signal fort à ses partenaires européens.

Quand sera-t-il des demandes de hausse du pouvoir d’achat, de la baisse des impôts, de la solidarité et autres sujets si désuets aux yeux du gouvernement ?

Vous le saurez au prochain petit voyage présidentiel (au soleil, au bord de la piscine surement).