Regardant distraitement le grand déballage de mots vides et respectueux des institutions, je me rends compte qu’en fait nous écoutons au final des députés et des ministres à un prix élevés, d’une faible autonomie, et d’un manque de puissance sur tous les plans.
Ce manque de fiabilité nous confirme que ces gens ne sont pas à la hauteur.
Pour que la France fonctionne correctement, nous n’avons pas besoin de chaines attachées à nos pieds et encore moins de pignoufs grassement payés pour nous pondre des budgets confiscatoires et clientélistes totalement dévolus aux dirata de quelques milliardaires.
Nous savions déjà que l’argent des français est en fait l’argent des banques, mais là, c’est carrément la France qui appartient aux banques.
Ce ne sont pas des députés ou des partis que nous écoutons, nous voyons gigoter sur tous nos écrans des représentants d’intérêts.
Ils veulent dominer un pays par l’argent et omettent délibérément les français, non pas parce qu’ils n’aiment pas les français mais parce qu’ils sont incapables de produire en France ce que les français ont besoin.
De toute manière ils sont incapables d’investir dans le « vivre ensemble », le système actuel est pour eux celui qui leur rapporte le plus et appréhendent déjà une baisse de leurs juteux bénéfices.
Ils rêvent d’empires et de paradis fiscaux mais ne comprennent pas qu’ils sont déjà embarqués dans la spirale infernale de la décroissance.
Nous ne pouvons pas compter sur de tels parasites.
La seule solution viable pour la France et les français est d’offrir un budget adapté à leurs besoins et surtout de cesser de les ponctionner au delà de leurs capacités.
Dans tous les cas, cela reste un très mauvais point pour les banques.
Mention spéciale pour le groupe Ricard qui mène un lobby hyperactif à la buvette de notre assemblée.
