Drôle de politique de proposer au vote les bonnes idées de l’opposition et dire aux français que le nouveau gouvernement est au travail.

La preuve est faite avec l’abandon de l’arc républicain pour le plus grand profit européen de l’autre droite.

De toute manière, ils veulent une progressivité qui n’est respectée par aucuns des partis.

Nous sommes actuellement dans un champ d’application dont nous n’avons ni l’usage, ni la volonté d’accès.

L’esprit de la loi hante tous ces gens mais nous sommes déjà dans d’autres contrées. Dans un endroit qu’ils pensent posséder et pourtant inaccessible à leurs amendements.

C’est comme un arbre de vie qui pousse inexorablement sur le terreau d’une république étiolée.

Ils ne se rendent même pas compte qu’ils ont abandonné délibérément les français au bon vouloir d’une politique européenne, cette fameuse politique bruxelloise, avide de diamants et de couronnes.

Jouir, c’est leur seul but, ni plus ni moins.

Il n’est même pas nécessaire résister à tant de fautes commises au nom d’un futur européen.

Tous ces gens qui se disent si intelligents ont oublié le plaisir simple d’une orange presque offerte à notre destin si incertain.

Ils préfèrent les fantasmes anciens de personnages étranges avides de territoires vastes et fertiles.

La colonisation est un sujet qu’ils souhaitent encore aborder malgré la honteuse défaite qui ont déjà vécu.

Peu importe, il faut avancer dans un passé révolu, ça c’est politique.

Il ne faut jamais s’offusquer des sarcasmes de ces gens, ils sont grassement payés pour ne rien avoir avec nous.

La faute n’est pas commune, être pied noir en France dans ces temps obscurs est, je le concède, une vrai gageure, mais vous n’êtes pas obligés d’en faire profiter toute la planète.

Voila, ils espèrent peu être un effet papillon ou une autre formule plus représentative.

Ils appellent cela la politique.

Le citoyen que vous représentez n’a plus aucune ressemblance avec vos postures votives. C’est bien là où le bas blesse dans cette représentation si douteuse.

Je pense qu’ils nous privent de nos aspirations.

Ils sont en train de se demander s’ils sont encore européens.

C’est quelque chose de ressentir cette vibration acoustique si perfectible, mais nous ne sommes pas tous des députés.