Ça y est, cela faisait longtemps, les chars soviétiques sont encore aux portes de Paris.

Mais ce n’était pas tes petits copains allemands qui s’installèrent jadis à Paris ?

C’est donc avec une vision historique toute particulière de l’Europe que Macron continue à distiller une parole totalement dévolue à ses ambitions personnelles, au détriment des français.

Il faut faire fi de toute culture et désigner un ennemi en prévention d’une guerre pour financer son désir de domination sur les instances européennes.

En fait, le chef de guerre Macron se croit d’une utilité certaine et paiera ses 5% de PIB pour satisfaire la politique coloniale du lobby bancaire auquel il reste totalement dévoué.

Nous connaissions les collabos et les cons, mais là cela devient vraiment gênant.

Le mercantilisme politique devient la norme par l’acceptation des instances européennes, malgré les réprobateurs moraux dénonçant une corruption institutionnelle.

Comme d’habitude, cela était attendu et prévu et prouve la grande dérive autoritaire et financière des alliés face à un monde qui reconnait de moins en moins le bien fondé de leurs tripatouillages financiers.

Ce que nous remarquons, c’est une certaine constance dans l’application de leurs détournements de fonds publics.

Il ne veulent pas comprendre que leurs actions sont illégales.

Comment faire évoluer une politique européenne, alors que nos dirigeants raisonnent encore sur des bases cartographiques dignes du XVe siècle, et avec une volonté farouche de découpage du monde en faveur d’entités privées ?