Depuis la révolution industrielle, les états, les industriels et autres financiers ne cessent de développer une stratégie mondialisée et s’organiser afin de jouir démesurément de l’espace et du temps.

En conséquence, peu importe les moyens pour atteindre leur but : l’esclavage, la domination, la dictature de l’argent, la prise de contrôle des institutions et de l’état et de l’armée.

Pour eux, le futur est déjà tout tracé et c’est avec leur intelligence et leurs croyances qu’ils comptent s’adapter aux enjeux démographiques et écologiques à venir.

Leurs héritiers non seulement assurent la continuité suprématiste mais investissent aussi massivement sur les technologies innovantes et bien sur l’écologie.

Ils veulent consommer de l’écologie si et seulement si cela leur apportera de substantiels dividendes.

Collectivement, nous sommes tous responsables de la situation sanitaire de notre environnement.

L’occasion est trop belle pour eux de développer une stratégie écologique basée sur leur sacro-saint capitalisme.

Pourtant, la dette n’est pas collective, c’est le fabriquant de cette pollution qui est le débiteur. Cela ils refuseront toujours de le comprendre.

Ils n’ont pas et ne veulent pas acquérir une conscience écologique.