
C’est au pied du mur oriental que je gare ma monture nipponne.
Elle m’accompagne dans cette aventure très incertaine.
C’est dans cette ambiance très « années 90 », avec son lot d’aberrations que nous allons passer cette semaine.
Ils nous prennent vraiment pour des rigolos, j’en espérais pas moins.
Comme c’est bon de recouvrir définitivement ce monde révolu dans sa plus absurde continuité.
Surtout ne dites rien car ils se cachent encore dans leurs valeurs princières.
Je me sens comme un coq en pâte dans mon tablier déjà usé jusqu’à la corde.
Il me tarde de tester la cantine sous toile, celle là même ou naguère la belle Catherine déjeuna.
En fait j’ai travaillé tard et j’ai un peu de retard sur l’horaire, nous allons donc continuer en live…
>J’espère qu’ils ne vont pas nous proposer un « Blond Ambition Tour » car cela risque très vite dégénérer.