Selon Blaise Pascal, le divertissement est une façon pour l’être humain de se détourner de ce qu’il est vraiment, à savoir un être misérable et mortel.

Mais la réalité et les intérêts politiques ne sont pas toujours compatibles avec de telles pratiques.

Le technocentrisme qu’elle engendre démontre une volonté de contrôler les hommes et la nature afin de promouvoir un état fort et autoritaire.

Sous couvert de progrès et d’évolution technique, le politique s’écarte de sa mission première.

Les notions d’éducation, de travail et de vivre ensemble ne font plus partie de leur système.

Ils pensent que le divertissement médiatique est suffisant pour s’abroger de la fonction première de leur tâche.

Ils ne sont plus élus pour le service de la nation mais pour la maitrise d’une cause qu’ils pensent nécessaire.

Les conflits actuels ne sont que les conséquences de malheureuses actions héritées de la guerre froide.

Statistiquement, nous savons que les possibilités d’accidents sont ainsi multipliées.

L’engagement simpliste de la défense tend à conforter mon raisonnement.

En effet, l’isolationnisme américain cache en fait sa volonté d’étendre sa politique libérale au reste du monde.

La destinée manifeste de leur projet reprise par des groupes médiatiques européens permet aux États-Unis de ne pas s’impliquer directement dans un conflit dont ils réfutent la paternité.

Nous nous retrouvons donc avec des protagonistes qui ne feraient jamais partie du paysage européen si les américains ne leurs avaient pas proposé une vision messianique de notre histoire.