C’est vrai, depuis bien longtemps, Rome était dominée par les marchands.

De nos jours, sous prétexte d’Europe, nous essayons de survivre dans ce très vieil espace soit disant moderne car en plein développement.

Pure illusion à cause de la main mise des politiques avides de puissance et de modernisme.

C’est en fait une sape sans pareil de nos vies, mises en suspension pour le seul profit d’un clan aventureux.

Les riches élites d’après guerre avides de puissance et de renouveau, nostalgiques et décidés à maitriser de bout en bout une construction vaste et historiquement désirée.

Le partage des ressources animé par une vision commune leur a permis de s’accaparer l’essentiel de nos activités rémunératrices.

Cet ensemble ne souffrit pas des tentatives de révoltes engagées en vue d’une libération attendue.

C’est avec une violence immense qu’ils décidèrent de réprimer les révoltés.

Ils ne resta qu’une sphère dirigeante lourde et sure de leurs actions pour dominer les restes de notre humanité.

C’est là que j’interviens. Moi, seul contre le monde entier, avec comme seul atout une éducation adaptée aux besoins de savoirs élémentaires, dans une période finalement assez brève, comme une éphémère fenêtre ouverte sur le monde.

Mais alors que le renouvellement naturel était à l’œuvre, une faille temporelle s’ouvrit à mon grand désespoir, m’oppressant de suivre une voie qui ne convenait pas.

A cette époque, des génies de l’époque se sont sentis propriétaires du savoir universel.

Je ne pardonnerai jamais leur désir de monétisation de l’information et surtout du savoir.

Oui, je suis nostalgique d’une époque où internet était ouvert, le savoir était à la portée de cerveau, contrairement à aujourd’hui ou il faut passer par des satellites hors de prix et omniprésents pour voir la météo.

C’est cette fin de développement intelligent qui cause leur perte.

En attendant, ils prennent nos vies avec un certain espoir de victoire, sans même se soucier des conséquences lourdes de sens de leurs actions.