Ce week-end, nous allons voter pour les européennes.

Notre président actuel, celui que nous connaissons tous, s’invite une fois de plus à la télévision comme si il était chez lui.

Comme d’habitude, il ressort ses arguments de vente tel un petit épicier maintenant parisien.

En fait, il souhaitait ardemment l’activation de l’article 16 de notre constitution.

Mais dans sa quette d’absolutisme, il ne se rendait plus compte qu’il jouait contre son camp (la France).

Le temps passe, les hommes aussi. Franchement, les français et les françaises se seraient bien passés de cet épisode si tragique.

Encore faut il maintenant ne pas se tromper sur notre avenir et nos aspirations profondes en sachant bien évidement que la France n’est pas une banque européenne.

Peu être qu’à force de se faire virer de toutes les institutions, il comprendra (certainement trop tard) que son avenir passe par les français et pas par ses contacts si prestigieux soient-ils.