
De l’Hôtel California au Lexington Hôtel élyséen, rien n’est assez grand, profond et pertinent pour un chef de l’état français omnibulé par sa promesse faite devant ses patrons banquiers d’assouvir leur désir de domination de l’Europe.
Ce n’est pas la politique française qui est en danger mais un système bancaire à bout de souffle et maintenant handicapé par ses extravagances passées.
La corruption de ces gens est sans limite et ils pensent encore nous faire admettre que la morale parle pour eux.
Ils ont merdé avec les bulles boursières et se refont la cerise sur le dos de l’Europe et surtout sur le dos des européens.
La politique façon « next private » veut s’imposer en France malgré les réticences légitimes des partis dits non recevables par l’autorité supérieure de notre République.
Alors, à plusieurs reprises nous avons alerté les institutions nationales sur la nécessité de contrôler et de sanctionner toutes ces dérives démocratiques.
Nous arrivons donc au point fatidique où le forcené est retranché dans son hôtel et il devient évident que le GIGN devra intervenir pour le déloger.
Des manifestations et autres interventions citoyennes avaient déjà tenté de faire place nette mais elles se sont confrontées finalement à une garde républicaine (voire prétorienne) dévouée à leur chef plutôt qu’à son peuple.
Comme tous criminels, à l’origine il n’était qu’un enfant intelligent et sensible et c’est par la force des choses qu’il s’est enfermé dans la spirale destructrice du pouvoir.
Il convient maintenant aux français de garder le cap dans cette tempête médiatique orchestrée pour un homme au service non pas de la France, ni de l’Europe, mais pour le profit exclusif d’entreprises multinationales et pas forcément françaises.
Dans d’autres temps, nous aurions interprété toute cette histoire de problème d’intelligence avec des puissances étrangères.
Les temps changent, les hommes aussi.