Il n’est pas facile de moissonner avec une machine dont le fil casse en permanence.
Les vacances d’été permet à la moitié des français de quitter leurs villes polluées pour se ressourcer en pleine nature ou chercher le dépaysement total en allant dans les pays étrangers.
Mais maintenant, en France comme à l’étranger, les hyènes se prennent pour des lions.
Je ne remercie pas les autocrates du tous poils qui pensent que le monde leur appartient.
Pour les personnes n’ayant pas le désir ou les moyens financiers de partir, cette période est souvent propice aux loisirs qui ne sont pas effectués habituellement durant le reste l’année, comme les activités sportives, ludiques ou culturelles. C’est également une période favorable aux réunions familiales.
Oui mais là, c’est pas gagné car soit disant que nous ne travaillons pas suffisamment pour satisfaire nos « élus » et surtout leur pouvoir d’achat.
Maintenant les vacances sont synonymes d’inégalités et de grandes difficultés.
En premier lieu, les transports sont orientés pour des échanges commerciaux entre les cités mais ne desservent plus les localités rurales.
Le transport ferroviaire, colonne vertébrale historique de toute notre économie nationale a été sacrifié au nom du progrès et de la vitesse des échanges.
Nous n’avons plus droit à la lenteur, le nouveau standard est la grande vitesse.
La plage, grande vitesse, la montagne, grande vitesse, la vie familiale, grande vitesse.
Ils nous font chier tous ces cons d’européistes à vouloir remplir leurs poches à grande vitesse. Rien ne compte plus pour eux que le butin qu’ils pensent acquérir honnêtement.
Nous avons droit en permanence aux nécessités de progrès, de reconnaissance des juifs, des LGBT et autres conneries de ce genre, mais en fait ils ne souhaitent que nous faire porter le chapeau de leurs couteuses incompétences.
Même les étrangers retournent au « bled », mais le français doit rester au travail de plus en plus longtemps.
De toute manière, même si vous parvenez à un lieu de villégiature, vous ne remarquerez que des panneaux d’interdiction. Il en existe de toutes sortes, tous aussi abusifs les uns que les autres.
Ce qu’ils veulent, c’est que vous passiez votre vie devant une télévision pour consommer de la publicité en permanence et écouter la bonne parole toujours plus décalée de leurs désinformations.
En plus, après avoir bien travaillé pour le compte de ces bandits, vous n’aurez droit à la retraite qu’à un vélo ou un cercueil, au choix.
Pas facile de choisir et encore moins d’accepter une Europe aux mains de ces margoulins.
Alors, alors ?
Bonnes vacances les riches et les voleurs !
