Comme prévu, chaque journée passée dans cette période critique nous apporte son cortège de sinistres nouvelles toutes plus inquiétantes les une que les autres. La connerie est sans limite, mais cela nous le savions déjà.

En ce moment, hormis la politique stabilo, nous avons une république frustrée, une pseudo guerre, un gâteau périmé, et une tendance à tous ces protagonistes à vouloir prendre le dessus sur tout et n’importe quoi.

Dans ces cas là, la solution est de revenir aux fondamentaux et réfuter expressément toute ouverture.

A la longue c’est vrai que ça lasse mais comme nos destinées ne nous appartiennent pas, la réponse est toute faite.

Nous vivons des jours inédits dans toute l’histoire de notre pauvre monde, ils ont déjà tout pris.

Que voulez vous composer après cela ? Les générations futures ne connaitrons jamais une vie normale, hormis peut être les riches héritiers de nos fossoyeurs.

D’ailleurs, c’est déjà le cas et nous devons en plus voter pour cela.

Je me souviens qu’à Strasbourg, quand Macron était à l’ENA pour apprendre à gouverner le monde avec des idéaux français, j’essayais déjà désespérément de me faire une place dans l’univers agricole qui a tant compté pour nous. Mais ils étaient trop occupés pour voir mes actions, puisque leur but était déjà de réaliser des grands bénéfices et négliger le résultat final (après moi le déluge).

A l’époque, je regrettais déjà cette politique qui nous entrainera tous dans un monde abscons.

Je ne suis pas déçu mais vous serez certainement frustrés par le résultat.

Le but de ma démarche n’est pas compatible avec vos petites manœuvres, vous ne serez jamais à ma place et j’en joue depuis longtemps maintenant.

C’est comme quelque chose que vous voulez absolument attraper, quitte à y mettre le prix, mais la résultante vous échappe à chaque fois.

C’est comme une fable, un rêve, quelque chose d’inaccessible.

Je sais que cela vous rend fou et pourtant vous ne pouvez pas y couper.

Le pire pour les gens est de faire croire que vous détenez la solution, alors qu’elle vous échappe à chaque fois.

Nous allons vivre encore des moments mémorables, qui feront date, et croyez moi je n’en serais que le seul bénéficiaire, malgré la vie dégueulasse que vous m’ordonnez.