Cela ne me concerne pas directement, mais il y a matière à réflexion quand nous voyons tous ces millions défiler pour un nouvel ordre européen.

Le devoir de protéger, n’est pas nécessairement imputable au contribuable européen. Ce sont les européens qui sont dans le devoir, alors pourquoi nous imposer une politique clientéliste basée sur la surabondance de devises pour tout et n’importe quoi pourvu que les dirigeants se placent dans une position dominante visqueuse et malicieuse.

Ils veulent toujours quoi qu’ils en disent, un pouvoir absolu sur les peuples, ni plus ni moins.

De toute manière, j’ai déjà largement dénoncé ces postures et j’ai remarqué un effet sur la forme mais certainement pas sur le fond.

Je ne parle pas de la politique en général mais de ces petites lignes directrices décidées pour détourner définitivement l’honnêteté et l’intégrité des peuples légitimes.

En d’autres termes, la classe supérieure est étatique, tandis que le peuple est clientéliste.

Dans un monde parfait comme celui là, nous comprenons bien qu’un accord raisonnable sur la suite à donner ne pourra advenir que de cette classe supérieure, dans le mépris total des citoyens.

Cela dit, l’enjeu n’est pas économique mais bel et bien écologique.

Cette fameuse transition écologique devra être financée dans la ligne directrice européenne : « on vous prend votre argent et on vous ordonne de ne plus polluer ».

Merde alors, c’est vraiment des cons !

Allons jusqu’au bout du raisonnement, puisque nous y sommes. Je trouve vraiment embarrassant le fait que l’Europe soit dirigée dans une pensée certes œcuménique, mais qui reste tellement calquée sur un ordre ancien qui ne nous convient toujours pas.

On y trouve tous les protagonistes qui nous ont tiré dans cet abime. Nous y trouvons en premier lieu les protestants, suivis des catholiques, et des autres religions pas forcement très représentées par leurs nombre de pratiquants mais plus pour leur portefeuille bien garni.

On comprend bien que la religion est le moteur financier et politique de ce continent virtuel.

C’est leur force et c’est aussi leur faiblesse, mais c’est surtout l’heure du coup de grâce.