Plus forte que le Commonwealth, la France et par extension l’Europe tente d’imposer une nouvelle vision de la décolonisation en se basant non plus sur la liberté ou l’égalité mais simplement sur sa suprématie monétaire.

Est-ce par efficacité, par l’envie « d’aller vite » ou par pure bêtise que l’Europe délaisse ses plus grandes valeurs pour une politique bassement comptable ?

En fait, ce qui les intéresse, c’est la mise en place d’un commerce de compensation afin de pallier l’inflation et masquer ainsi aux usagers la vrai valeur de leur monnaie.

Voici comment un petit nombre de politiciens pilotent depuis Bruxelles la finance internationale.

Mais ce que je n’arrive pas à comprendre, c’est la raison pour laquelle ces acteurs européens préfèrent se tirer une balle dans le pied plutôt que de reconnaitre leurs erreurs.

En fait, nous ne parlons plus de finance classique mais bel et bien d’échanges « non officiels » sécurisés par la blockchain.

En tout cas c’est la honte, ça craint, et cela ne grandit en rien la politique monétaire européenne et en dit long sur la nécessité des banques de se désolidariser de cette neo-économie.

De toute manière, c’est la fin du monde, les politiques financières ne peuvent pas se permettre d’être trahies par des honnêtes commerçants et ne reconnaitront jamais les vrais valeurs des appareils productifs.

Ils feront tout pour réduire la valeur travail, il voteront des lois pour restreindre les droits des travailleurs et ainsi détruire tout acquis social.

Voyant les risques de pertes augmenter, les assurances seront revalorisées à l’extrême, tout comme le prix de l’énergie, le coût de la vie…

Il faudra donc soit changer les politiques monétaires ou légaliser de nouvelles pratiques commerciales afin de retrouver des échanges commerciaux normalisés.

On ne peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre, et en plus prendre la crémière pour une voleuse alors qu’elle ne fait que son travail.