Il est remarquable de vivre dans un pays d’une exceptionnelle richesse culturelle, historique et géographique.

La politique nous a imposé la redéfinition du tracé des régions de la France pour des calculs électoraux.

Il est remarquable de vivre dans nos campagnes riches de nos coutumes et nos savoirs-faire.

La politique ne table que sur l’ile de France, seul lieu où les décisions sont intelligentes.

Il est remarquable de vivre dans une localité où la politique parisienne vient faire sa loi.

Un bel exemple de ma région :

Dans le Médoc deux fois millénaire de traditions et d’excellence vinicole et plus précisément dans la commune de Saint-Estèphe, il y a un espèce de bonhomme riche de ses constructions de cages à poules et autres bétonnages en tous genres qui se paye du jour au lendemain presque 70% de la superficie de la commune avec les châteaux qui vont avec.

Hormis le fait que cette commune est devenue un village de millionnaires, inactifs, vieux et isolés, ce monsieur crois se payer le droit de faire à peu prêt se qu’il veut dans le plus grand respect du politiquement correct bien évidement, sans aucune relation avec la population résidente.

Notre exemple, les prés salés et autres pâturages qui bordent la la Gironde ont toujours été des espaces ouverts dans la grande tradition médocaine qui veut que les animaux sauvages puissent circuler librement.

Il faut dire que les médocains ont aussi une grande tradition de chasse et de pêche.

Dès l’installation de ces nouveaux venus, il nous a été imposé de ne plus chasser sur les terres de ce monsieur, certainement écolo avant l’heure (voir archives TF1).

Déjà à l’époque c’est avec une grande résilience que nous acquiesçâmes.

Aujourd’hui avec la tendance écolo parigo gigolo loto & co, je vous donne en mille qu’il s’est mis à élever des moutons sur ces espaces.

Super, en plus c’est joli des moutons dans les pâturages. Mais car il il y a toujours un mais, plutôt que d’embaucher un berger et enfin créer un emploi dans la commune, ce monsieur préféra clôturer tous les espaces ouverts, interdisant définitivement l’accès à ses propriétés.

Et voilà ce que la politique française est capable de nous apporter.

Le daguet est enfermé dans l’enclos, il s’épuise à retrouver un passage.