Il faut bien se rendre à l’évidence, notre argent sert essentiellement à défendre les intérêts du nouveau couple infernal judeo-germanique au détriment de la France.

C’est cette politique qu’il faut combattre et rien d’autre.

La continuité de la politique européenne de la France c’est vue parasitée par des éléments extérieurs (principalement israéliens) en vue d’utiliser l’état français comme marche pied à une politique néo-libérale qui est représentée depuis maintenant presque 10 ans par notre très cher Président Macron.

Ils comptent profiter sur le dos de tous les européens d’une politique libérale initialement engagée pour satisfaire et amadouer l’extrême droite allemande.

Mais le problème vient du fait que tous ces libéraux ne comptent jamais revenir à une politique nationale réaliste et préfèrent finalement négocier et enrichir les néo-nazis juifs et allemands plutôt que de réengager la France dans une avenir européen.

Je vois encore Juppé au service des Rothschild recevoir en grande pompe des négociants allemands dans la région bordelaise et se dire fier de présenter nos vins, en précisant que finalement cela n’est qu’un commerce comme un autre.

Ce qu’ils emmottèrent de dire, plus par cupidité que par honnêteté, c’est que le parti néo-libéral sera dorénavant le seul interlocuteur sur le marché viticole.

En tout cas, c’est comme cela qu’ils ont tenté de le vendre aux allemands.

Mais voyant que cela ne suffisait pas, et constatant qu’ils n’arriveraient pas à complètement se débarrasser des français dans leur zone viticole, ils décidèrent de se séparer discrètement ou de réduire les français habitant dans ces zones à leur plus petite expression.

C’est bien là que je constate avec un certain dégout pour leurs agissements, que sacrifier des français au nom d’une politique européenne n’a jamais était un problème pour eux.

Pour conclure, Macron doit partir avec pertes et fracas et les français devrons recevoir au nom de l’état des excuses biens méritées.

Mais allemands ne sont pas si bêtes et nous attendons que le petit imposteur se retire de lui même afin de négocier intelligemment un avenir européen.