En France, depuis la mise en place des 35 heures, le syndicalisme n’a cessé d’être raboté.
Les « grands patrons » refusèrent catégoriquement de suivre cette mesure.
Boostés par le passage à l’Euro, la croissance et la bonne santé de l’économie du pays, nous avons subi un lissage du phénomène de casse sociale alors initialisée.
Ce n’est pas la peine de faire un descriptif complet car ce qui nous intéresse aujourd’hui est la conséquence directe de l’Uberisation du marché du travail qui n’est en fait que l’aboutissement de cette lente évolution.
L’arnaque car c’est de cela dont il s’agit, est en fait un rapt démocratique, puisque nous nous retrouvons dans une position dictatoriale où le choix est établi par avance : les patrons ou les extrêmes.
Les pouvoirs de l’argent sont supérieurs à l’état.
Alors, le représentant patronal en place, qui ne comprends vraiment que ce qu’il a envie, nous prend républicainement pour des cons.
Le problème est maintenant critique.
Les caisses de l’état sont plus que vides, les satellites disparaissent dans le vide sidéral, et le soleil ne brille pas pour tous les patrons.
Je préconise donc une négociation amicale et raisonnée sur la réduction du temps de travail et surtout du partage du travail et des ressources.
De plus, il va falloir qu’ils se calment sévère avec leurs envies de donner des leçons à tout le monde, alors qu’ils ne sont que des gros loosers.