Dans notre système mondialisé, nous polluons parce que les industries s’adaptent à nos habitudes de consommation.

Le système économique dans lequel nous vivons détruit la planète par une surexploitation des ressources.

Pour étendre les capacités de production, il est envisagé d’exploiter de nouvelles ressources au delà de notre atmosphère. Mais pour changer de modèle de production, l’industrie devra à court terme utiliser encore plus ressources et donc polluer encore davantage.

A cela se rajoute les crises éthiques, identitaires et religieuses.

Les politiques endettent les peuples soit disant pour relancer l’économie, garder nos habitudes de consommation et espèrent même que la croissance permettra un redressement global de notre situation.

J’ai beau ne pas travailler au FMI, il est quand même évident que quelque chose ne va pas.

Il n’est pas étonnant que des pays entiers résistent à la pression économique mondialisée.

Il est même plutôt raisonnable de constater qu’un pays comme l’Afghanistan décide coûte que coûte de garder son identité et de croire encore à une civilisation qui lui est propre et renouer ses relations transfrontalières séculaires.

Le jeu démocratique n’est toujours pas compatible avec une autre façon de penser et de vivre, même si elle est raisonnable.

Il est navrant de constater que nos gouvernements s’entêtent à vouloir toujours se tenir à une politique dominante et destructive, sous couvert de promesses futiles et intenables.