De 1988 à nos jours.

Ma seule demande à l’Europe était de me parachuter en Grèce.

Lalumière tenta de m’y conduire sans succès.

La France, l’Allemagne et les autres pays avaient une toute autre vision de notre avenir commun.

Mais c’était leur choix !

Le juif me traitait de nazi, voire même de futur Hitler.

L’Europe modéra.

Dans cet imbroglio, je n’est eu de choix que le chômage comme forfait.

De reproche à sanction pour non action, j’avoue avoir choisi une voie bien éloignée des standards actuels.

L’islamisme, le nazisme, le terrorisme, la politique n’ont jamais fais parti de mes ambitions.

Je ne suis que le sujet des baltringues politiques ambitieux.

Le futur nous appartiens toujours. Les états trop gourmands ne sont plus inclus.

Leurs ambitions sont si corrompues qu’il n’est plus envisageable de composer avec eux.

Est ce que c’est la mort de l’Europe ? Clairement non.

Cette institution aussi misérable et aussi riche qu’elle est reste l’avenir de notre vivre ensemble.

Ses fautes et autres erreurs institutionnelles devraient faire réagir ses membres mais sans succès.

C’est là où le bas blesse.

L’histoire commune n’oriente absolument pas la politique européenne à tel point que nous sommes obligés de soumettre leurs actions au fil de l’histoire contemporaine.

L’Europe reste contre vents et marées droite dans ses bottes, comme à l’époque des bon soins d’Alain Juppé à Bordeaux.

La région bordelaise reste pour eux comme une souillon toujours prête à assouvir leur soif de pouvoir.

Sachez toutefois que je ne suis pas du tout enclin à ces farces grotesques de riches industriels qui trouvent que cette région est propice à tous les excès.

Premièrement ils ont clairement empoisonné les sols pour une durée dépassant largement une vie humaine, deuxièmement, ils liquident l’histoire belle et exclusive d’une région fière et cohérente au profit du sacre de leur carrière en écrasant systématiquement les acteurs locaux.

Pour eux c’est l’Europe, pour moi l’avenir se situe toujours en Grèce.