Dans la même ligne multi-médiatique et éditoriale que l’affaire Cahuzac, nous assistons à la prise de pouvoir de nos institutions par les forces de l’argent.
Le problème vient du fait que nos nouveaux élus ne sont plus sélectionnés pour leurs convictions politiques, leurs engagements sincères et leurs idées mais pour un recrutement en fonction de critères pré-définis.