Pour nous qui sommes nés à la fin du XXe siècle, il est difficile d’appréhender une vision suprémaciste du pouvoir.

C’est d’ailleurs cette ambiguïté majeure qui perturbe le rapport entre les populations et les différents systèmes politiques.

Ils veulent tellement se la péter comme on dit maintenant, qu’ils nous pondent des théories sur tout et n’importe quoi, avec la ferme intention qu’ils aient dans tous les cas le dernier mot.

Ce n’est même plus de la politique mais une succession de séquences gérées par une IA supra intelligente qui consiste à faire travailler toujours plus des petits asiatiques pour une bouchée de pain.

Mais il est vrai que la tache est ardue et loin d’être exhaustive (car infinie).

Il faut donc combler les lacunes temporelles en proposant toujours plus de divertissements.

En fait, cette évolution néfaste est le fruit de tableaux vendus, d’échanges artistiques et d’un gout parfois douteux.

Moi qui n’aime que la simplicité infinie de la nature, je me retrouve avec ces petites merdes collées aux basques style téléréalité.

Merde alors.