A l’Élysée, on boit des canons du matin au soir.
A l’intérieur, ils ne savent faire que les poubelles.
A l’éducation, c’est le quai de la gare à la récréation.
Au logement, c’est boites en carton pour tous les copains.
A la justice, ils s’échangent des pots de vin.
C’est la grande classe en France, et en plus si vous leur donnez une petite piécette, ils vous ouvrent grand les portes du métropolitain.
Le fer de lance de la politique de jojo le clodo, c’est la désocialisation, l’exclusion du monde du travail, la solitude, l’alcool et la cigarette comme moyen de réconfort et d’autodestruction.
Cette errance sociale voulue et développée de longue date permet surtout d’estomper la recrudescence des stéréotypes et faire accepter l’inacceptable.
Plutôt que de permettre à tout un chacun une vie descente et digne, il s’agit de dénigrer toute la population pour qu’une minorité puisse fièrement revendiquer sa supériorité.
Le nivellement par le bas offre pour eux des opportunités et promeut une doctrine définitivement suprématiste.